Ce semestre a donné l’occasion de travailler conjointement des éléments habituellement dissociés : la conception d'un fragment d'urbain, un espace public et un ensemble de logements afin d’éprouver la continuité des questions, de l’intime au grand territoire via l’espace public. Il s’est donc agi de développer sa capacité à produire de la forme - ou de l’espace - à différentes échelles et de ne pas opérer, inconsciemment, une différenciation entre les outils de l’urbaniste et ceux de l’architecte, de travailler davantage sur la continuité des questions et ainsi, de résoudre dans un même geste, avec des outils similaires et une semblable attention, le plan de la salle de bain et celui des extérieurs.

• Les logements devaient être « désirables »  et interroger les codes et les modes d’habiter contemporains.
• Les questions des vues et des parcours, de l’espace public à chez soi étaient centrales dans la démarche de l’atelier.